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La presse et Brenot

Des articles de presse sur Pierre-Laurent Brenot, si vous possédez des reportages sur Brenot, qui ne seraient pas présents sur cette page, n'hésitez pas à nous les faire parvenir.

La Nouvelle République, samedi 6 mars 2010

06/03/2010

Le commissaire-priseur et les pin-up de Brenot Cinquante dessins et peintures de femmes court-vêtues de Brenot, sous le marteau du commissaire-priseur Bertrant Jabot, ce lundi. Adjugé, vendu ! Ce titre n'est pas une fable contemporaine, plutôt une histoire de vente, la prochaine des deux Bertrand, Fraisse et Jabot, commissaire-priseurs à l'hôtel Giraudeau. Une étonnante caverne d'Ali Baba de 1 700 m◊, où s'entassent objets d'art et mobilier ancien, armes anciennes et vieille vaisselle, tapis luxueux et bibelots poussiéreux. Mais toujours quelque chose à y dénicher, ou sur lequel s'extasier, comme autant de témoignages d'un passé pas dépassé, puisqu'on projette d'acheter demain. Au rythme du marteau Tableaux, dessins, affiches : une cinquantaine des «femmes» de Pierre-Laurent Brenot, surnommé «l'homme aux 10 000 pin-up», sont donc sur la brochure de la vente aux enchères de tableaux modernes et contemporains, ce lundi à 14 h 15. «Un crayon léger qui glisse le long du cou, caresse des épaules d'une femme, gourmand et malicieux, il croque la bouche et le sourire de son modèle», disait Jean-Claude Brialy de Brenot, l'un des dessinateurs et affichistes les plus connus des années cinquante. Pour l'instant, Bertrand Jabot expose les pin-up de l'artiste qui s'était retiré en Touraine, Lire la suite...

Télé 7 jours, calendrier 2006

13/08/2015

Le retour des Pin-up Pour la 2e fois, Télé 7 Jours vous offre, avec le concours de TF1, le portfolio événement des filles de la télé. Animatrices, chanteuses, comédiennes et Miss France cohabitent joyeusement pour rendre hommage au père des pin-up à la française, Pierre-Laurent Brenot. Ève AngeliLa chanteuse sexy, finaliste de la Ferme célébrités (TF1), se glisse dans les dessous glamours dessinés par Brenot pour la couverture du magazine Le Rire (1948-1964). Une mise en scène fidèle à l'originale réalisée par Nuit de Satin. Cindy FabreLa belle Miss France 2005 a choisi d'incarner l'héroïne de l'affiche du film Les années folles – de Mirea Alexandresco et Henri Torrent – récompensé du Lion de Saint Marc en 1960, à Venise. Séverine FerrerQuand en 1958, Julien Duvivier réalise La femme et le pantin, avec Brigitte Bardot, la série d'affiches du film est confiée à Brenot. Quarante-sept années plus tard, sans aucun complexe, Séverine Ferrer joue magnifiquement à la BB mutine et aguichante. Véronika LoubryLorsque Véronika est venue à Télé 7 jours pour choisir son personnage de pin-up, elle a été immédiatement séduite par le personnage de l'actrice Pascale Petit dessinée par Brenot pour l'affiche de Julie la rousse (1958). La ressemblance est troublante. Huit nouvelles Lire la suite...

Éco Actives, juin 2015

13/08/2015

Belles à épingler par Yann Berthet Extrait :Un effet de mode récurant L'illustrateur Pierre-Laurent Brenot passe pour être le père de la pin-up française. Dans les années 50, elle devient l'un des symboles d'une après-guerre affamée de plaisirs. Périodiquement, elle revient sur les devants de la scène. Dans les années 70, une armée de jolie fille fera la gloire de Brenot. Il est l'homme aux 10 000 pin-up. Pour Géo Bosch-Stein « la créature de Brenot n'a rien à voir avec celle des calendriers aux formes monstrueusement agressives de Vargas. Brenot a modelé des filles à l'image du désir masculin. Il leur a fait un corps réel, palpable, imprégné de senteurs printanières ou de lourds parfums d'alcôves ». Prolixe, les pin-up de Brenot vampirisent les albums, les hors-textes des magazines de luxe, les affiches et dessins publicitaires. Si « la belle » met ses bas ou ajuste sa guêpière sans se soucier d'aucune présence, elle sait aussi aguicher les mâles de son œil coquin. Indiscutablement, la pin-up éveille le désir. Si elle ne répond pas forcément aux canons de la beauté classique, de tous ses pores transpire « un je ne sais quoi je ne sais où » qui fait d'elle une femme à n'en point douter.Regard ? Ligne amoureuse ? Cambrure ? Lire la suite...

Le Chineur, novembre 2004

13/08/2015

Chics et coquines, les pin-up de Brenot, texte de Dominique Jacquemin En plus de 50 années d'activité, Pierre-Laurent Brenot aura dessiné plus de 10 000 pin-up pour la publicité. Mais son champ d'activité ne se réduit pas qu'à la publicité. Le père des pin-up françaises est un artiste peintre de formation ; il a longtemps collaboré avec de grands magasins de mode et de célèbres couturiers, réalisé des affiches de cinéma, illustré des articles pour des magazines de mode, croqué les femmes dans les cabarets. Tout cela avec le chic très parisien des années cinquante : même coquines, les pin-up de Brenot ne sont jamais vulgaires, car il les aime... Pierre-Laurent Brenot, Raymond de son premier prénom, né le 8 juillet 1913 à Paris dans le 14e arrondissement, est l'unique enfant d'un couple déjà âgé. C'est en observant les peintres d'aquarelle dans les jardins publics que viendra l'amour du dessin. Comprenant sa passion, ses parents l'inscrivent dans un cours de dessin du soir organisé par la Ville de Paris. Mais pendant un an, l'enfant ne dessine que des traits, des boulons et des écrous. Mal renseignés, ces parents l'avaient placé par erreur dans une section de dessin industriel... son véritable apprentissage commence Lire la suite...

Art Mania, décembre 1995 ⁄ janvier 1996

13/08/2015

Pierre-Laurent Brenot la pin-up à la française par Erika Davont & Patrick Gaumer Les illustrations de Pierre-Laurent Brenot incarnent la pin-up version française de l'après-guerre. Jusqu''aux années 60, la presse, la publicité, le cinéma et le monde du spectacle feront appel à ce maître de l'érotisme.C'est avec une grande émotion que nous avons rencontré Pierre-Laurent Brenot de passage à Paris à l'occasion du vernissage de son exposition à la Galerie Pierre Boogaerts.Né en 1913 à Paris, Pierre Laurent Brenot à peine âgé de douze ans dessine aux cours du soir puis entre à l'École Estienne. Il est engagé comme styliste au rayon femme chez un grand tailleur des boulevards, Fashionable. Il partagera pendant neuf ans son temps entre le stylisme et la vie agitée de nuits parisienne. Dès 1945, son étonnante facilité à dessiner lui permet d'assurer une quantité incroyable de commandes : il réalise sans problème une affiche dans la journée. Le magazine « Plaire », « L'illustration », puis « Cinémonde » et « Stars et vedettes », commandent à Brenot de nombreux dessins. Son styleSes pin-up sont à l'image des jeunes femmes sur lesquelles on se retourne dans la rue, d'affriolantes Parisiennes qui n'ont rien à voir avec les élégantes créatures inaccessibles des journaux de mode.« France-Dimanche » lui Lire la suite...

Françoise Fabian pose pour le calendrier 1956

13/08/2015

Articles parus dans le Daily Sketch (Londres), Vooruit (Gand), Paris Dakar (Dakar) et Cin-Revue (Bruxelles), entre le 2 et le 13 janvier 1956. Lire la suite...

Pascale Petit sera l'héroïne du film « Julie la Rousse », 1959

13/08/2015

« Avec Daniel Gellin et René-Louis Lafforgue sous la direction de Claude Brissol, Pascale Petit a posé pour son portrait réalisé par le peintre Brenot. Voici Pascale Petit qui prouve la ressemblance de son œuvre. » Lire la suite...

Le billet de la semaine – Il y a aussi une mode pour les geste vous dit Brenot

13/08/2015

Les affiches de Brenot, dont chacune et un événement quand elle parait sur les murs de Paris, montrent toujours une jeune femme à la féminité triomphante.Ne comprenez pas, par là, qu'il la dote d'avantages agressifs, tout au contraire, ils sont fort discrets, mais il se dégage d'elle une grâce et un «chic» inimitables.Le grand artiste, que j'ai rencontré à un cocktail, m'a paru tout désigné pour vous parler de «nous», chères lectrices.« Comment, lui ai-je demandé, concevez-vous ces ravissantes jeunes femmes, et à travers elles, toutes les autres ?»— Je vois les femmes sous des traits vivants et intelligents ; ma pensée les transpose comme un joaillier taille un bijou dans une pierre brute.J'attache surtout beaucoup d'importance au charme, aux attitudes qui changent ; il y a des gestes et de nouvelles façons d'évoluer, de marcher, de se tenir, inspirées par le génie de la coquetterie féminine. Chaque époque a son style de maintien, si on peut dire; c'est une question d'optique : la silhouette évolue constamment avec une manière d'être. Je vois les femmes au futur, elles naissent très rapidement sous mon pinceau ; en quelques heures, elles ont 20 ans : je vais leur fait prendre de l'avance. Lire la suite...