À partir de 1965 et jusqu'à sa mort (1998), Brenot n'aura de cesse d'être installé sur son tabouret, derrière son chevalet à croquer ses nombreux modèles. Impossible de comptabiliser le nombre de pinceaux, de tubes de peinture à l'huile (son médium préféré), de châssis de toile tendue que cet infatigable travailleur utilisa.